Je déménage. En bonne fille de base qui se respecte, je ne suis pas encore décidée. Est-ce que j'adore déménager ? Où au contraire, est-ce que je déteste ça ? J'oscille entre les deux. J'aime le côté excitant qu'il y a forcément derrière un déménagement. En mettant ses affaires dans des cartons, on sait qu'on les ressortira quelque part. On ne sait pas où. C'est ça qui nous fait frissoner. J'apprécie le fait de comprendre que rien n'est figé. Qu'on est tous amenés, un jour, à bouger. A changer. Et qu'à la manière de ces petits reptiles, on laisserait notre mue de côté. Pour continuer notre chemin et tailler la route.
Habiter dans un appart en coloc, avec deux amis, c'est une expérience géniale. Elle fait partie de la vie étudiante. Et vaut d'être vécue. Car rien n'est plus appréciable de rentrer chez soi le soir et de trouver quelqu'un. Raconter et raconter encore. Ecouter aussi.
A part l'été dernier et mes 3 mois de stage à Paris, je n'ai jamais vécu seule. Il y a eu la coloc de première année avec Léa. Celle foirée de deuxième année avec ma soeur. L'année à Prague avec Cam, Stefan, Anna et Arik (le coloc caché !). Et puis celle de cette année. Chacune aura été spéciale à sa manière.
Aujourd'hui je voudrais vivre seule. Mais ne pas trop attendre avant de vivre à deux. Aujourd'hui j'ai besoin de me créer un endroit à moi. Rien qu'à moi. On a tous notre part d'égoïsme. La mienne s'exprimera à la rentrée dans la location d'un F1...
Je laisse mes meubles chéris. Non que j'ai les moyens de refaire toute ma déco. Mais je m'en sépare sinon j'aurai l'impression de ne rien changer. Or justement ce qui me flippe littéralement c'est de tout changer. Comme dans tous, je m'engouffre là-dedans. Car je sais que c'est en affronter ses peurs qu'on réussit à les dompter.
Je déménage. C'est-à-dire que j'essaie de rassembler tout ce que je possède. Et si possible, ce "tout" doit prendre le moins de place possible. C'est là que le bas blesse voyez-vous. Je me rends compte de ce que j'ai amassé. Et je commence à lire les papiers, les vieux cours, etc. etc. Ca n'en finit plus.
Bon allez, c'est sûr : demain 12h, tout sera empaqueté, en attente d'être convoyé dans un endroit tenu secret. Même de moi, c'est dire !
Discover Mika!
Habiter dans un appart en coloc, avec deux amis, c'est une expérience géniale. Elle fait partie de la vie étudiante. Et vaut d'être vécue. Car rien n'est plus appréciable de rentrer chez soi le soir et de trouver quelqu'un. Raconter et raconter encore. Ecouter aussi.
A part l'été dernier et mes 3 mois de stage à Paris, je n'ai jamais vécu seule. Il y a eu la coloc de première année avec Léa. Celle foirée de deuxième année avec ma soeur. L'année à Prague avec Cam, Stefan, Anna et Arik (le coloc caché !). Et puis celle de cette année. Chacune aura été spéciale à sa manière.
Aujourd'hui je voudrais vivre seule. Mais ne pas trop attendre avant de vivre à deux. Aujourd'hui j'ai besoin de me créer un endroit à moi. Rien qu'à moi. On a tous notre part d'égoïsme. La mienne s'exprimera à la rentrée dans la location d'un F1...
Je laisse mes meubles chéris. Non que j'ai les moyens de refaire toute ma déco. Mais je m'en sépare sinon j'aurai l'impression de ne rien changer. Or justement ce qui me flippe littéralement c'est de tout changer. Comme dans tous, je m'engouffre là-dedans. Car je sais que c'est en affronter ses peurs qu'on réussit à les dompter.
Je déménage. C'est-à-dire que j'essaie de rassembler tout ce que je possède. Et si possible, ce "tout" doit prendre le moins de place possible. C'est là que le bas blesse voyez-vous. Je me rends compte de ce que j'ai amassé. Et je commence à lire les papiers, les vieux cours, etc. etc. Ca n'en finit plus.
Bon allez, c'est sûr : demain 12h, tout sera empaqueté, en attente d'être convoyé dans un endroit tenu secret. Même de moi, c'est dire !
Discover Mika!
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